Ah quelle belle citation… une phrase qui en réalité a bien plus de sens qu’il n’y parait. Surtout quand on aborde le thème de la séduction (voire des relations humaines au sens large, d’ailleurs).
Quand on y pense, c’est ce qui rend les notions de drague, de charisme, de confiance en soi, attrayantes, excitantes. S’il suffisait de sourire à une femme pour qu’elle nous tombe dans les bras… on s’ennuierait bien vite (et elle aussi) !
Fuis moi je te suis, suis moi je te fuis, cette fabuleuse maxime, est donc LA base, LA formule magique que tout séducteur doit avoir en tête. La victoire n’est belle que dans l’adversité, le succès prend toute sa valeur quand l’adversaire est coriace.
Quand on regarde ces hommes ou ces femmes que l’on assimile à des icônes, qu’est-ce qui nous vient en tête ? Un fort respect, l’impression qu’ils viennent d’une autre planète, qu’ils ne jouent pas dans la même cour que le commun des mortels.
Et pourtant, ils sont faits de chair et de sang, comme nous !
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Le challenge mes amis, le CHALLENGE !
Vous avez déjà pris part à une compétition sportive ? Un match de foot, de handball, de volley (de curling…) où tout le monde vous voyait prendre la branlée du siècle et au cours duquel vous vous êtes dépassé, avez déjoué tous les pronostics ? Vous vous souvenez de ce sentiment de fierté, d’extase au moment de la victoire ?
Cela mes amis, c’est l’adrénaline. Celle qui vous donne la force de gravir des montagnes, de relever les plus grands défis. Et la notion de challenge, c’est la cerise sur le gâteau : plus l’épreuve est difficile, plus l’obstacle paraît infranchissable, plus la stimulation psychologique est importante.
Ça ne vous rappelle rien ? Dommage ! Car c’est exactement la même chose en matière de séduction. Si cette notion est adaptable, elle est véridique, indiscutable. Séduire LA fille dont vous rêvez, c’est un bonheur immense…
On vous donne des tactiques, des outils, mais au final, tout repose sur vos épaules, et vous savez que la priorité des priorités, c’est de refuser ce que beaucoup considèrent comme une évidence : non, vous n’allez pas vous vautrer lamentablement. Non cette fille n’est pas trop bien pour vous !
De cette prise de conscience découle un positionnement intellectuel intéressant. Plutôt que de s’attarder sur la difficulté de l’effort, c’est vous qui allez vous ériger en récompense, présenter un challenge aux femmes que vous voulez séduire.
En démontrant un détachement vis-à-vis des enjeux de la séduction d’abord, mais aussi et surtout en développant votre charisme. Comment ? En prenant soin de vous, en comprenant que rien ne sert d’idéaliser votre cible. Comme le dit le proverbe, lui courir après ne sert à rien…
Partant de là, il devient évident que la personne sur laquelle vous devez travailler, c’est vous même. En apprenant à vous faire confiance, à ne pas être impressionné, à rester de marbre dans les situations où d’autres démontreraient clairement leurs attentes et grilleraient leur joker.
La peur du risque, la peur du rejet… ne sont que des excuses que votre inconscient fabrique par appréhension du changement, de l’inconnu. En réalité, et je sais que certains discuteront cette affirmation, ce n’est pas d’une mauvaise performance que l’on a peur, mais d’un résultat positif.
Pourquoi ? Et bien c’est simple : un râteau, ça picote, mais ça passe rapidement. En revanche, une progression avérée sur le chemin de la séduction entraîne une prise de responsabilités, le développement d’une certaine image, de standards, un bouleversement du quotidien…
Le voilà le plus grand challenge, outre celui de vous ériger en personne difficilement atteignable : celui d’accepter la gratification, d’être prêt psychologiquement à faire face à un tel enjeu.
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Fuis moi je te suis, suis moi je te fuis… Une maxime empreinte de respect envers le sexe opposé
Si la séduction vous permet de stimuler votre personnalité, de démontrer vos qualités intrinsèques et d’afficher un certain détachement, le jeu du « chat et de la souris » comme on l’appelle présente un autre avantage : celui de démontrer un certain respect aux femmes convoitées.
Vous ne les prenez ni pour des femmes faciles, ni pour des gourdes. Vous savez que les efforts doivent être effectifs et considérez ces demoiselles comme la « récompense », les personnes qui pourront profiter de votre volonté d’amélioration.
En outre, c’est aussi une reconnaissance intellectuelle, psychologique. L’« attraction-répulsion » s’instaure en effet dans une relation à partir du moment où les deux protagonistes se reconnaissent mutuellement un certain intérêt, un certain nombre de qualités.
Que le déroulement de la séduction s’effectue naturellement à travers cette sorte de « parade nuptiale » n’entre pas vraiment en ligne de compte. Ce processus n’ayant pas lieu d’être entre deux personnes qui ne s’apprécient absolument pas.
La voilà donc, la grande leçon du titre que nous exploitons à travers cet article : « fuis moi je te suis, suis moi je fuis ». C’est non seulement une vérité, un réflexe humain face à cette nécessité de challenge émotionnel, psychologique et intellectuel, mais aussi la mise en valeur d’un rapprochement, d’un respect mutuel sans lesquels l’attirance et la tension sexuelle ne peuvent faire leur apparition.
Vous le comprenez à la lecture du contenu présent sur SBK : la séduction est un domaine où l’orgueil, la médisance et la fierté n’ont pas leur place. Pour séduire, il faut comprendre et respecter les femmes. (A LIRE : Le Roi aux 4 épouses : L’histoire qui va changer votre vision de la vie **inspirant**)
Cette notion de progrès-régression est quelque chose de normal, de naturel. Il ne faut pas y voir la matérialisation d’errements psychologiques ou un obstacle particulier. En réalité, c’est même elle qui rend le processus aussi intéressant et permet de s’améliorer au quotidien !
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Ce qu’il faut retenir…
Fuis-moi je te suis, suis-moi je te fuis. Bien plus qu’un dicton, c’est une véritable technique de séduction. N’avez-vous jamais remarqué que plus vous courrez après une fille, moins elle court après à vous ? Et que plus vous ignorez une fille, plus elle vous court après ? Pourtant, c’est véridique.
Sur l’aspect purement animal de la séduction, l’homme est le chasseur et c’est donc lui qui doit courir après sa proie (la femme) en vue de la séduire et d’en faire sa compagne. Si une femme prend le rôle de chasseur, l’homme se sentira déstabilisé et désintéressé. L’homme a besoin de challenge donc s’il sait que c’est du tout cuit avec une fille, elle perdra tout intérêt à ses yeux.
Un mec a besoin de sentir qu’on lui résiste, surtout en phase de séduction. La technique du fuis-moi je te suis peut paraître ridicule voire enfantine et pourtant, elle est efficace.
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En suscitant le mystère, vous donnerez envie à madame d’en savoir plus sur vous. Ne vous montrez pas acquis et encore moins disponible quand elle le décide. À l’inverse, il est évident que vous ne serez pas attiré par une nana qui sera toujours à votre disposition.
Une femme qui montre trop d’intérêt à un homme ne l’intéressera pas. Il va vite se lasser. Il deviendra de plus en plus distant car il sentira son attachement. Dans la situation inverse, si vous êtes celui qui est attaché à cette femme, vous allez devoir lui prouver que vous méritez son intérêt.
La technique dus fuis-moi je te suis peut être efficace en cas de rupture. Après, tout dépend de la rupture. Si vous voulez récupérer votre ex, vous allez devoir appliquer cette technique pour garder une certaine proximité et un jeu de séduction entre vous. Il faut donc commencer par prendre de la distance puis revenir. Puis repartir. Puis revenir. Et ainsi de suite.
Bref, le jeu du chat et de la souris a ses effets plus ou moins positifs. Tout dépend si vous êtes le chat ou la souris.
Dans le cas d’une personne qui ne sait pas ce qu’elle veut, vous aurez tout intérêt à ne pas lui courir après car : cette personne finira par vous laisser ou bien elle finira par revenir vers vous.
Toutes les cartes sont donc entre vos mains.
Une chose est sûre, quelqu’un de trop facile à séduire n’a absolument rien de séduisant. Il faut représenter un certain challenge, c’est une évidence, tant côté masculin que féminin.
C’est vrai, c’est parfois pénible de devoir utiliser cette technique car c’est du calcul et qu’on aurait envie de se laisser aller sans réfléchir mais tout dépend de l’enjeu et de la personne.
Et puis parfois, cette technique peut foirer si l’autre personne en a strictement rien à faire de vous mais au moins, vous serez fixé.
Retenez quand même l’essentiel : l’importance du challenge. Vous n’aurez pas à pratiquer la technique du fuis-moi je te suis. Et sinon, elle portera ses fruits… ou pas.
[9-Secrets]
