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7 Conseils Pour Vous Faire Des Amis À La Fac

se faire des amis à la fac
L’art et la manière de se faire des amis à la fac

Le milieu étudiant est un des meilleurs environnements pour rencontrer de belles nanas ET vous faire des amis. Vous y êtes entouré de centaines, voire de milliers de mecs et de filles de votre âge, qui ont les mêmes intérêts et les mêmes envies que vous : rencontrer des gens, s’éclater, se développer et obtenir un diplôme.

Je sais que si votre vie sociale n’est pas au top ou si vous êtes timide, ces propos peuvent être décourageants. « Si même dans un tel environnement où c’est tellement facile je n’y arrive pas, alors ça veut dire que j’ai vraiment un gros problème. » C’est ce que la petite voix dans votre tête pourrait vous dire.

Ne vous inquiétez pas, la vie sociale de la plupart des gens est une question de hasard. Les amitiés et les histoires d’amour, ça leur tombe dessus. Dans cet article vous découvrirez 7 conseils qui vous donneront de l’avance sur 90% des gens, même si vous êtes timide.

Conseil n° 1 : comprendre que la confiance en soi n’est pas une constante

Je me dois de préciser une chose : dans cet article, il s’agit de la confiance en soi dans le contexte social (se faire des amis, rencontrer des filles, etc.). Cette précision est déjà un indice en soi : la confiance en soi dépend du contexte. Vous pouvez être confiant sur un terrain de foot ou dans une situation de guerre, mais être pétrifié dès qu’il s’agit d’aborder une fille, d’inviter des gens à votre soirée, demander un service à d’autres étudiants, et bien sûr : se faire des amis à la fac.

Ça va même plus loin. La confiance en soi dépend du contexte précis. Par exemple, il y a des gars qui sont à l’aise pour aborder des filles en boîte, mais qui n’osent pas aborder dans la rue. Ou inversement, il y a des gars qui abordent facilement dans la rue, mais qui n’osent pas aborder en soirée. Comme vous voyez, c’est très spécifique : un contexte dans un contexte. Aborder des femmes dans la rue ou aborder des femmes dans les bars ou les boîtes.

Ce principe de spécificité s’applique également aux rencontres à l’université. Vous me direz peut-être : « Oui mais moi j’ai un ami qui est confiant partout. » C’est possible. Il y a des gens qui sont plus à l’aise en général que d’autres, mais il est plus probable que vous voyez cet ami toujours dans les mêmes contextes. Sortez-le une fois de son milieu habituel et vous verrez comme sa confiance en lui baissera.

Bref, ceci est un conseil mental. Un conseil qui a comme but de changer, si nécessaire, votre ancienne croyance étant : « La confiance en soi est un trait stable et absolu. Certaines personnes sont confiantes, d’autres ne le sont pas. », et de la remplacer par : « La confiance en soi est variable. Elle fluctue selon les circonstances. Elle dépend du contexte. »

Comment se faire des amis en vacances

Conseil n° 2 : la confiance en soi est le résultat de l’expérience et non pas l’inverse

Je viens de dire que la confiance en soi dépend du contexte. C’est une information incomplète, car la confiance en soi dépend avant tout de l’expérience. L’expérience développée dans un contexte précis.

Lors des premières journées à la fac, presque tout le monde est stressé, nerveux et hésitant d’aller vers les autres. Et vous croyiez que vous étiez le seul ? La vérité, c’est que tout le monde cherche à se faire des amis à la fac. 

Pourquoi croyez-vous que les plus anciens, ceux de la 2e, 3e ou dernière année ont l’air tellement plus confiants ? Car ils ont accumulé de l’expérience dans le contexte de l’université. Ils ont rencontré des gens, ils ont parlé à d’autres étudiants, encore et encore, dans le contexte de l’université. Ils ont répété les comportements sociaux, ils ont répété les interactions sociales dans le contexte de l’université. Bref, ils sont plus confiants, car ils ont tout simplement une ou plusieurs années d’expérience de plus que vous. Oui, c’est aussi simple que ça.

Ce conseil-ci ne sera pas mental, mais pratique. Et vous pourrez l’appliquer dès maintenant. De nouveau, vous n’êtes pas le seul à être stressé, nerveux et tendu. Tout le monde l’est les premiers jours, voire les premières semaines de l’année académique.

Mais tout comme vous, tout le monde veut être accepté, se faire des amis à la fac, faire partie du groupe, etc. Et les premiers jours présentent une opportunité, car les groupes ne se sont pas encore formés. Les gens sont beaucoup plus ouverts aux rencontres.

Au lieu de rester sur le côté et « d’observer », allez vers les gens pour faire leur connaissance et pour discuter avec eux ! C’est plus facile à dire qu’à faire, je sais. Et en plus vous vous demandez : « Oui, mais je ne sais pas quoi leur dire. Que pourrais-je bien leur dire pour lancer la conversation ? Et que dire pour maintenir la conversation ? »

Voici quelques suggestions :

  • « Salut, c’est quoi ton nom ? »
  • « Salut, moi c’est [votre prénom ici]. »
  • « Tu viens d’où ? »
  • « T’as fait quoi l’année dernière ? »
  • « Pourquoi t’as choisi ces études ? »
  • « Tu connais d’autres gens ici ? »
  • « Tu comptes faire quoi plus tard ? »

Ce sont des questions banales, mais il n’en faut vraiment pas plus. L’université est votre environnement commun. Vous faites partie du même groupe ! Le plus important est de faire ce premier pas, d’ouvrir la bouche et de recommencer. C’est tout. Certaines de vos interactions ne dureront que quelques dizaines de secondes, d’autres plus longtemps et encore d’autres trop longtemps à votre goût.

En répétant ces comportements, vous accumulerez de l’expérience. Plus vous accumulez de l’expérience, plus vous deviendrez confiant. Et en passant vous vous ferez des amis à la fac, vous rencontrerez de jolies nanas et vous deviendrez de plus en plus populaire.

Donc, lancez-vous dès maintenant. Allez vers les gens, parlez avec eux, encore et encore.

Conseil n° 3 : planifiez et organisez des activités

La plupart des gens subissent leur vie sociale. Les amis et les filles, ça leur tombe dessus. Ils ne s’en rendent même pas compte. Ils ne se posent pas de questions. Et ça leur convient parfaitement, car ils ne doivent pas sortir de leur zone de confort.

Et vous, que faites-vous dans tout ça ? Vous pouvez en profiter ! Faites en sorte qu’ils subissent votre vie sociale. Souvenez-vous du conseil précédent : abordez vos camarades de classe, garçons et filles, pour faire leur connaissance et discuter avec eux. Avec une partie de ces gens vous vous entendrez vraiment bien. Ce sont des amis potentiels. Comment en faire de vrais amis à la fac ? C’est simple : vous devez répéter le contact avec eux dans la classe ou l’auditoire et en dehors. Bref, vous devez les voir et les revoir régulièrement dans des contextes différents.

Pour les revoir pendant les cours, il vous suffit d’assister aux cours et d’aller les rejoindre. Si vous ne faites que ça, vous serez des camarades de classe. Pour approfondir votre relation et devenir de vrais amis, vous devez également les fréquenter en dehors du contexte des cours.

Et pour ça vous devez planifier et organiser des activités et inviter les gens que vous souhaitez. Rien de bien compliqué : aller boire un verre, une partie de foot, un barbecue, etc. Par exemple : « Salut Sophie, dis, demain soir au Prof (nom du café) les boissons sont à moitié prix. On y va en groupe. Je t’invite à nous rejoindre. »

À force de répéter les contacts avec des gens différents et avec les mêmes personnes, vous deviendrez socialement beaucoup plus fluide et confiant ET vous vous ferez des ami(e)s.

Conseil n° 4 : acceptez les invitations

Bien entendu, vous ne serez pas le seul à prendre l’initiative, bien au contraire. Fêtes, soirées, thés dansants, clubs, cercles et associations, bizutages et baptêmes, séminaires, symposiums, colloques, ateliers, potes, gonzesses, alcool, joints, cours et ça n’en finit pas.

Il y a tellement de stimuli qui se battent pour capter votre attention, qu’il vous suffit de temps et temps de dire… oui. Surtout au début de l’année, car c’est alors qu’il y a le plus d’activités. Et c’est alors que vous avez le plus besoin d’y participer, pour chauffer vos muscles sociaux, pour réduire le stress des premiers jours et pour vous habituer à votre nouvel environnement. Ce n’est pas en jouant au mec arrogant que vous allez vous faire des amis à la fac.

Conseil n° 5 : tâtez le terrain à l’avance

Si vous êtes nerveux et timide, vous pouvez tâter le terrain à l’avance. Littéralement ! Si dans quelques jours vous avez un premier cours dans un grand auditoire, vous pouvez visiter cet auditoire encore maintenant. En vous familiarisant avec l’environnement à l’avance vous enlevez une partie de votre angoisse.

« Par où dois-je aller ? Je ne connais pas le chemin. Par quelle porte faut-il entrer ? Et si j’arrive en retard ? Je n’ai pas envie d’entrer par la mauvaise porte et de me retrouver avec les regards de 700 étudiants braqués sur moi. » Tâter le terrain à l’avance est un bon moyen pour neutraliser ces pensées négatives.

De plus, ça peut vous donner un avantage par rapport aux autres nouveaux venus. Si vous voyez qu’ils ne savent pas par où aller, vous pouvez leur indiquer le chemin et entamer la conversation : « Tu cherches l’auditoire 3 ? C’est pour le cours de physio ? Cool, c’est par là. Je dois y être aussi. Au fait, moi c’est [votre prénom ici], enchanté. »

Pareil pour les bars et les boîtes. Vous pouvez les visiter à l’avance, pendant la journée ou en début de soirée, quand il fait plus calme. Vous découvrez l’environnement, vous choisissez le ou les endroits qui vous plaisent et vous appliquez le conseil n° 3 : « Je connais un bar super chouette. Et je compte y aller ce soir. Ça te dit ? »

Conseil n° 6 : exercez-vous en dehors du milieu étudiant

Pratiquez et répétez l’art de l’approche et l’art de la conversation, entraînez et chauffez vos muscles sociaux en dehors du milieu étudiant. Ça vous servira dans votre milieu étudiant. Vous serez plus à l’aise et plus confiant.

J’ai dit plus haut que la confiance en soi dépend du contexte. Effectivement. Je me dois donc de nuancer : il s’agit des mêmes comportements (entamer et mener une conversation), mais dans un contexte différent. Puisqu’il s’agit des mêmes comportements, il y aura un transfert de compétences et de confiance en soi d’un contexte à l’autre. Il est vrai aussi que votre angoisse augmentera dès que vous passerez d’un contexte à l’autre. Au final, cette hausse sera moins forte que si vous n’aviez pas eu votre « entraînement » en dehors du milieu étudiant.

Concrètement, si vous souhaitez aborder les filles de votre classe plus facilement, alors pratiquez l’art d’aborder des filles dans la rue, les supermarchés, etc.

Conseil n° 7 : ne culpabilisez pas si ça ne se passe pas bien

La plupart des gens ne s’aiment pas entre eux. Je ne parle pas de haine, mais d’indifférence.

Avec combien de personnes différentes avez-vous discuté dans votre vie ? Et combien de ces personnes sont devenus vos ami(e)s ? C’est ce dont je vous parle.

Quand le courant ne passe pas, ce n’est pas nécessairement de votre faute. Quand une fille réagit de manière froide et formelle, ce n’est pas nécessairement de votre faute.

Acceptez-le tout simplement : avec la plupart des gens, le courant ne passera pas. Vous aurez une interaction « sympa », formelle, polie et vous en resterez là. Ou peut-être plusieurs interactions de ce genre, car vous faites les mêmes études.

Ce n’est pas nécessairement de votre faute. Ça ne veut pas dire que vous êtes inférieur. Et ça ne veut pas dire non plus que vous ne devez pas prendre l’initiative d’interagir avec les gens.

Abordez, entamez la conversation, prenez l’initiative ! Faites-le pour vous : pour chauffer et entraîner vos muscles sociaux, pour accumuler de l’expérience, pour développer votre confiance en vous et pour vous sentir plus léger et libéré !

PS. Envie d’aller encore plus loin ?

… alors vous êtes libre de regarder cette vidéo où je vous montre comment vaincre votre timidité et combattre la solitude. Vous apprendrez aussi les techniques de conversation et les stratégies efficaces pour bâtir un cercle social large et solide :

  • Avoir un groupe d’amis qui vous aiment et vous respectent
  • Beaucoup de stimulation et une vie sociale très active, mais qui vous laisse quand même le temps de vous occuper des autres côtés de votre vie
  • Des expériences INOUBLIABLES avec des amis, et les amis de vos amis : des voyages, des soirées, des aventures entre copains… etc.
  • Des fêtes d’anniversaire comme vous n’en avez JAMAIS eu avant
  • Le gens qui vous ont connu avant vont être CHOQUES de voir toute cette évolution ; mais cela arrivera d’une façon tellement naturelle, qu’ils vont trouver que c’est normal que ce soit VOUS qui avez des résultats pareils

🎥 Cliquez ici pour regarder la vidéo ›››

se faire des amis pour la vie

15 réflexions sur “7 Conseils Pour Vous Faire Des Amis À La Fac”

  1. Ouaw !kamal je ne savais pas que tu savais lire dans les ésprits!!
    J’ai noté cette question pendant le week end pour la poster ici sur SBK et me voilà répondue sans éfforts;
    Mais il reste aussi comment faire monter sa valeur au yeux des autres (pas forcément les filles) et l’art d’etre aimé je pense qu c’est indispensable dans ton sujet.
    Bonne continuation!

  2. Bonjour kamal, je suis un de teslus grand fan, je suis chacun de tes articles depuis 2010!
    Bon, je suis au lycée, et comment dire, j’ai la taille d’un 4eme alors que je suis en premiere…j’aimerais savoir que faire pour que mes camarades et les filles du lycee me desetiquettent de cette idee du tout petit que je suis.
    Aussi, j’ai remarqué qu’une fille a l’air de s’interesser a moi, mais meme si jamais je reussis a faire naitre de vrais sentiments pour moi en elle, est-ce qu’elle ne sera pas genee a l’idee de perdre de la valeur dans son cercle social? ( car c’est malheureusement une fille…pas quelconque au niveau social dans ce lycee , bien au contraire…) sinon, pour renseignements surma taille, 1 m 65 environ…2 tetes de moins que mes autres camarades! Sinon j’ai une reputation pas mal sans vraiment rentrer parmi les  »caillra » du lycee…voila! Et niveau confiance en moi, je sais que c’est bon parce que en public, je comble suffisamment le fait que je suis petit par ma presence, je suis apprécié par tout le monde , a ce niveau ya pas de probleme…ils en oublient mele parfois que je suis petit.
    Bon, voila, j’attends vos conseils, merci d’avance!

  3. Merci Kamal pour ces précieux conseils, j’apprécie énormément ce que tu fais pour améliorer notre vie, sur le plan du lifestyle !
    Mais j’aurai grandement besoin d’un conseil, j’ai déménagé de la France vers la Tunisie cet été pour rejoindre mon père, mais celui-ci m’a mis dans un lycée où les cours sont en français mais les élèves parlent tunisien entre eux. Et le problème, c’est que je ne comprends pas du tout le tunisien ! Et tout le monde se connais déjà, donc tout le monde a son groupe d’amis. Du coup, je n’arrive pas à m’intègrer ! Pourtant je fais tout pour sociabiliser, mais la langue m’empèche complètement de m’intègrer.
    Est-ce que tu aurai une solution ?

  4. Sympa cette article surtout pour les nouveaux à la fac. Etant depuis 4 ans à la fac, certaines choses vont m’être utile, j’en apprends encore, j’arrive très bien à rencontrer du monde et à me faire des connaissances ou des amis, en revanche ça bloque et j’arrive pas à voir d’où ça vient.

    Par contre si on parle des gens hors de notre promo voir hors de notre filière, vous faîtes comment pour créer du lien à la fac, parce qu’il y a énormément de pression sociale.

  5. Cet article tombe à pic ! Je suis rentrée à la fac cette année et je cherchais justement à élargir mon cercle « d’amis » vu qu’il est encore restreint pour le moment. Merci à toi de partager de si bons articles, ils m’ont servi plus d’une fois même si je suis loin d’être un garçon :p tu l’as dit toi-même : il faut savoir lire entre les lignes !

    Au plaisir de lire ton prochain article :D

  6. Bonsoir,

    C’est marrant je me suis posé cette question tout à l’heure en attendant mon bus. Je me demandais en quoi consistait la confiance car il y a des moments je suis très confiant et d’autre pas du tout puis je me suis rendu compte que sa dépendait de mon énergie, envie. Tu viens de compléter la réponse à ma question, merci x).

  7. Salut à tous !

    Tout d’abord, un grand merci à Kamal pour ce nouvel article qui correspond parfaitement aux préoccupations des nouveaux étudiants, dont je fais moi aussi partie.
    Malgré tout, je suis en ce moment confronté à un petit « problème social » qui, à mon sens, mérite d’être soulevé. En fait, pour prendre mon exemple, je me suis donné comme objectif de socialiser avec un maximum de gens à la rentrée. Or, il me semble que ce principe entre rapidement en conflit avec l’intérêt de créer des liens plus profonds avec les personnes que j’ apprécie, et qui semblent prêtes à m’accepter, mais qui nécessitent que je leur accorde plus de temps.
    En clair, j’ai l’impression qu’en socialisant rapidement (donc de manière superficielle) et avec un maximum de gens, on crée plusieurs « foyers d’amitiés » qui sont autant de portes ouvertes à une intégration dans un groupe d’amis. Or, il devient rapidement nécessaire de choisir entre consacrer son temps à s’intégrer dans un groupe d’amis en particulier, et à approfondir les liens avec les membres de ce groupe, ou continuer à sympathiser avec tout le monde au risque de se retrouver, au final, seul.
    Pour résumer, je n’ai pas envie de me « caser » trop rapidement au sein d’un groupe d’amis, et je ne souhaite pas non-plus négliger chacune des possibilités de m’intégrer qui s’offrent à moi.
    Que faire ?

    1. Un problème intéressant auquel je suis actuellement confronté.

      Ca dépend de ta personnalité bien sûr, mais moi j’aime déjà bien papilloner, à la rentrée j’ai vraiment discuté avec plein de gens, donc maintenant tout le monde me connaît (social proof bonjour).
      Après ça en fait, certains n’ont pas envie d’aller plus loin avec toi. Il faut les laisser tomber tout simplement. C’est de l’énergie pour rien. Pour décider si je reste avec un groupe ou pas, je me pose une question simple : est-ce que je m’éclate avec eux ? Si oui, on reste ; si non, out.
      On me dira peut-être qu’il faut sortir les gens du contexte des cours pour vraiment faire connaissance, etc… C’est vrai, mais pourquoi s’embêter à prévoir quelque chose avec des groupes dont les sujets de conversation dès la base te laissent indifférent/te font chier ?

  8. Merci sa fait plaisir, depuis la création de séduction by kamal certains ont développés un état d’esprit naturel.

    La confiance en soi et la deuxième nourriture d’un homme après l’estime soi.

    Alfred Adler le célèbre philosophe, à écrit un livre magnifique, intitulé le vrais sens de la vie ou il dit:
    « L’individu qui ne s’intéresse pas à ses semblables est celui qui rencontre le plus de difficultés dans l’existence et nuit le plus aux autres ».

    J’aimerai rendre un hommage à tous cette équipe qui partage leur idées pour alimenter l’imagination des hommes et femmes qui veulent prendre en main cette aspect de leur vie.

    Certains lecteurs qui liront ces lignes diront: « ho c’est de la flatterie »
    « Apprenez moi à ne dispenser comme à recevoir nulle vile flatterie. »
    Le roi George 5

  9. euh…je crois que j’ai fait une gaffe…
    Je suis sur une cible, qui était assez réceptive au début pui ça a fini comme ça:
    Après deux messages, ou j’ai essayé de faire du prizing puis du FO pendant 4 jours, je lui fais  »bon, on fait la paix tous les deux, ok? »
    …pas de réponses
    Donc je continue avec un
     »Quoi, je suis si méprisable que ça? :o  »
    et la elle fait
     »Putain, ahmed, ça devient chiant la! On est potes tot mais arrete, si je réponds pas c’est que chuis pas la! »
    Et moi comme un con, je lui dis;  »ok t’inquiete »
    Mais qu’est_ce qui ne va pas avec moi et mon game!!!? j’y comprends plus rien la! Aidez moi je vous en prie!

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